Exercice d'application des repères
Exercice d’application des repères philosophiques
1) Un jugement a priori tel que "tous les corps sont étendus" n'est ni particulier ni contingent, il est au contraire ? et ?.
2) Une ? est une connaissance abstraite et synthétique capable d’expliquer une multitude de faits à partir d’un petit nombre de règles ?.
3) Le est le point de départ, le commencement d’une connaissance ou d’une action, justifiant en droit ce que l’on doit ou devrait en déduire : à savoir ses .
4) , c’est amener quelqu'un à reconnaître la vérité d’un jugement en s’appuyant sur des raisonnements valables à la fois subjectivement et objectivement, tandis que la repose uniquement sur des moyens valables subjectivement : la sensibilité, l’imagination etc.
5)Une obligation est nécessaire ? mais contingente ?. Inversement, une contrainte est ? en fait mais ? voire impossible en droit.
6) Un raisonnement ne donne par définition pas lieu à une connaissance ?, puisqu'il procède par étapes.
7) L'éternité est-elle du côté de la légalité ou de la légitimité ? Elle est du côté de la .
8) La démonstration est une forme de connaissance ? tandis que la conscience d'exister est immédiate, elle est donc une connaissance .
9) Leibniz déclare : "il n'y a jamais dans la nature deux êtres qui soient parfaitement l'un comme l'autre, et où il ne soit possible de trouver une différence interne". Il dit en d'autres termes qu'il ne saurait y avoir d'? pure entre les êtres singuliers de la nature (minéraux, végétaux, animaux).
10) Le sens commun considère le plaisir comme une donnée accessible et donc bien ? de notre existence tandis que le bonheur ne serait qu'un ?.
11) L'individu désigne l'élément indivisible d'un ensemble logique tandis que le ? peut être divisé en plusieurs et l'espèce en plusieurs .
12) Doutant de tout ce qu'il tenait auparavant pour assuré et arrivant par cette voie à découvrir que l'affirmation "Je pense, je suis" ne peut pas être remise en doute, Descartes cherchait une vérité sur laquelle fonder tout le savoir et non pas de simples opinions vraisemblables.
13) Est ? ce qui peut être supprimé sans que disparaisse la chose elle-même, c'est ce dont on peut donc se passer pour définir un être. Est au contraire ce qui, une fois posé, fait que la chose est nécessairement posée et qui une fois ôté fait que la chose est nécessairement ôtée. Ainsi le fait de pouvoir raisonner est pour un philosophe comme Socrate tandis que le fait d'avoir les cheveux raides ou frisés est .
14) Est nécessaire ce qui ? ne pas être. En revanche, une chose qui est mais ne pas être est contingente et une chose qui n'est pas mais , est possible. Ainsi, quand nous ignorons une partie importante des causes exactes d'un phénomène, par exemple le temps qu'il fera dans un mois, nous ne parlons que de simples . En revanche, étant donnée la loi de la gravitation, nous savons qu'une pomme qui se décroche de son arbre se déplacera en direction du sol. Il sera donc ? qu'elle reste en l'air, sans mouvement. Enfin, si nous supposons que l'homme est capable de choix libres, toutes ses actions apparaissent comme .
15) On peut considérer qu'une mère a une caractéristique importante de sa féminité le jour où elle a enfanté.En revanche, une réalité historique comme celle de l'Ancien Régime contenait celle de la Révolution.
16) Opposant cette opération de la pensée par laquelle on ne retient que ce qu'il y a de commun à plusieurs êtres pour en déterminer l'idée générale à cette autre attitude de pensée par laquelle nous considérons un objet dans sa dimension singulière, unique, individuelle ; Kant affirmait : "Des concepts très ? nous font peu connaître de beaucoup de choses ; des concepts très nous font connaître beaucoup de peu de choses ; donc ce que nous gagnons d'un côté, nous le perdons de l'autre".
17) "Pierre n'est pas Paul" ou encore "la table n'est pas une chaise" sont des jugements qui reviennent à "A n'est pas B". Seulement "la table n'est pas une chaise" est une affirmation ayant une valeur ? tandis que "A n'est pas B" n'a qu'une valeur ?. [Note : il ne s'agit pas exactement ici de l'opposition abstrait/concret].
18) "Des principes pratiques sont ? ou forment de simples maximes quand la condition est considérée par le sujet comme valable uniquement pour sa volonté ; mais ils sont ? et fournissent des lois pratiques, quand la condition est reconnue comme valable pour la volonté de tout être raisonnable" (Kant, Critique de la raison pratique). Exemple de "maxime" : "quand je suis énervé, je joue au foot avec mon chien pour me défouler" ; exemple de "loi pratique" : "nul ne doit chercher à tenir autrui en esclavage".
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